Actions de l’Asie-Pacifique (hors Japon) : des occasions stratégiques dans un contexte de divergence

Les actions de l’Asie-Pacifique (hors Japon) ont légèrement reculé depuis le début de l’année (au 24 septembre 2021) dans un contexte de dispersion substantielle sur les marchés¹. La récente résurgence des cas de COVID-19, conjuguée à la hausse de l’inflation à l’échelle mondiale et à la volatilité des marchés en Chine, a semé le doute quant au rythme de la reprise économique et à la trajectoire des marchés boursiers en Asie. Notre équipe de placement responsable des actions asiatiques souligne les principaux facteurs qui influeront sur les actions pour le reste de 2021. Bien qu’elle s’attende à ce que les rendements régionaux continuent de diverger, l’équipe estime que dans l’ensemble, l’univers des actions asiatiques continue d’offrir des occasions attrayantes aux gestionnaires actifs qui privilégient la diversification et les sociétés dont le cours est raisonnable.

Tout au long de la pandémie de COVID-19, l’an dernier et en 2021, nous avons prévu une divergence des rendements sur les marchés boursiers asiatiques. En 2020, les marchés de l’Asie orientale qui ont mis en place des mesures de confinement plus rigoureuses et affiché des taux de vaccination relativement plus élevés ont dominé la région, tandis que les pays de l’ANASE ont tiré de l’arrière en raison de leurs fortes concentrations de populations urbaines, de leur accès limité aux vaccins et de leurs infrastructures de soins de santé moins développées.

En ce qui concerne le rendement de la région depuis le début de l’année (au 24 septembre 2021), nous avons observé certains changements dans la dynamique du marché. Ainsi, certains marchés nord­asiatiques (comme celui de Taïwan) ont continué d’afficher de bons résultats, tandis que d’autres ont perdu du terrain. L’Inde est devenue le marché régional le plus performant, ayant rebondi après avoir connu une deuxième vague de COVID-19 plus tôt au cours de l’année. Pendant ce temps, les marchés de l’ANASE ont inscrit un rendement légèrement négatif. 

Rendement des marchés boursiers asiatiques en 2021 (depuis le début de l’année) 

Chart of year-to-date performance of respective MSCI country Indexes/ The chart shows that as of September 24, the stock market in India, Taiwan, and Singapore delivered the highest returns, in U.S. dollar terms.

Source: Bloomberg, au 24 septembre 2021.

Jusqu’à la fin de 2021 : l’écart de croissance devrait se poursuivre 

Après la forte remontée qui a suivi l’effondrement de l’activité économique provoqué par la pandémie, nous nous attendons à ce que la croissance – tant à l’échelle mondiale que dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique – ralentisse jusqu’à la fin de 2021. La résurgence des cas de COVID-19, particulièrement en Inde, a eu pour effet de reporter la très attendue reprise économique à la dernière partie de l’année. Et même alors, les espoirs d’une reprise importante pendant le reste de l’année reposent en grande partie sur les taux de vaccination et la capacité de chaque pays à contenir la propagation de nouveaux variants.

Sur le plan des politiques, la Réserve fédérale américaine, qui a adopté un ton plus ferme lors de sa réunion de juin², pourrait amorcer le long processus de réduction de ses achats mensuels d’actifs. Il s’agit probablement d’un des événements à venir les plus étroitement surveillés. D’autres grandes banques centrales ont également annoncé leur intention de resserrer leur politique monétaire³.

Notre évaluation macroéconomique actuelle : la politique monétaire et l’inflation 

À notre avis, la plupart des intervenants sur le marché ne sont pas encore prêts pour un resserrement des politiques monétaires à l’échelle mondiale. À preuve, les titres des sociétés qui présentent des flux de trésorerie disponibles négatifs se négocient à leurs ratios cours-valeur comptable les plus élevés des 20 dernières années par rapport au marché. À notre avis, le marché pourrait refléter un optimisme excessif à l’égard de ces sociétés, en se basant sur la croissance alimentée par des capitaux externes plutôt que par des flux de trésorerie générés de façon organique; ces valorisations pourraient toutefois être malmenées à mesure que les rendements des obligations augmenteront.

Certaines sociétés pourraient également être durement éprouvées par l’inflation : l’augmentation du prix des matières premières, les frais de transport et la diminution de l’offre des composants électroniques et des puces à semi-conducteurs au premier semestre de 2021 devraient exercer des pressions sur les bénéfices de certains secteurs en aval. Nous croyons cependant que l’incidence de l’inflation par les coûts s’atténuera lorsque les chaînes d’approvisionnement des différentes régions reviendront à un niveau plus normal.

Chine : des occasions dans un contexte de volatilité accrue et d’évolution du cadre réglementaire 

D’un point de vue prospectif, le programme économique de la Chine sera probablement axé sur le développement de technologies de pointe, l’économie réelle, l’industrialisation et la décarbonisation. Nous nous attendons à ce que ces domaines profitent des effets positifs des mesures de relance. 

Par exemple, nous sommes optimistes à l’égard du secteur de l’énergie renouvelable de la Chine, et en particulier des sociétés qui exercent leurs activités dans la chaîne d’approvisionnement du réseau électrique et de l’énergie solaire, qui nous semble présenter un fort potentiel de croissance structurelle grâce à l’objectif du gouvernement d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2060. 

De même, nous nous attendons à ce que l’infrastructure 5G libère le potentiel de segments comme l’automatisation industrielle, la conduite autonome, les villes intelligentes et l’intelligence artificielle; une telle évolution devrait stimuler la demande de logiciels et de services de cybersécurité. À notre avis, ce secteur demeure sous-estimé.

Nous voyons aussi des occasions dans des régions à l’extérieur de la Chine, notamment en Europe, aux États-Unis et dans d’autres marchés émergents. Cela comprend les sociétés susceptibles de bénéficier de la reprise de la consommation et des investissements. 

Technologies à Taïwan et en Corée du Sud  

Les investisseurs sont peut-être préoccupés par la faiblesse à court terme du cycle technologique, mais nous pensons que les perspectives de croissance à long terme du secteur à Taïwan et en Corée du Sud demeurent prometteuses. Nous nous attendons à une autre série de mises à niveau de produits technologiques dès 2022, alors que les sociétés phares du secteur des technologies lancent de nouvelles puces et de nouveaux logiciels qui doivent être pris en charge par de nouvelles caractéristiques de produits. De plus, le déploiement des applications liées au 5G n’en est qu’à ses débuts, et nous croyons que le mouvement ira en s’accélérant en 2022.

Inde : une reprise plus lente pourrait favoriser les secteurs des services financiers, des matériaux et des technologies de l’information 

L’Inde a connu un revers après la flambée des cas de COVID-19 durant la deuxième vague de la pandémie. Mais puisque la situation semble être en voie de se rétablir et que les différents États ont indiqué qu’ils adopteraient une approche plus mesurée pour assouplir les restrictions, nous sommes d’avis qu’une reprise économique plus graduelle se dessine à l’horizon. Nous nous attendons à ce que les prévisions de bénéfices pour l’ensemble de 2022 soient révisées à la baisse avant de repartir en hausse en 2023. Étant donné la hausse des prix des matières premières et des marchandises à l’échelle mondiale, nous pensons que les marges des sociétés de biens de consommation indiennes pourraient subir des pressions.

Cela dit, nous prévoyons un rapport risque/rendement favorable dans les secteurs suivants : 

  1. Services financiers : La plupart des grandes banques sont bien capitalisées et nous nous attendons à ce que les coûts du crédit soient gérables. De plus, ces banques sont plus susceptibles de tirer profit de l’officialisation et de la reprise cyclique après la deuxième vague de COVID-19.

  2. Matières premières : Nous sommes optimistes à l’égard du secteur intérieur des matériaux de construction, car nous pensons que les entreprises de ce secteur pourraient transférer les hausses de coûts plus rapidement que les entreprises exclusivement axées sur la consommation.

  3. Services informatiques : Les technologies de l’information demeurent en bonne position sur le plan cyclique grâce à la vigueur des bénéfices des sociétés américaines. Nous sommes plus optimistes à l’égard des sociétés à grande capitalisation, car elles sont mieux placées pour composer avec l’inflation salariale et l’attrition pendant la reprise. Les technologies de l’information pourraient également offrir une protection contre le risque extrême dans l’éventualité d’une dépréciation de la roupie attribuable aux changements de politiques monétaires à l’échelle mondiale.

  4. Occasions de croissance structurelle à long terme : Nous sommes optimistes à l’égard de thèmes macroéconomiques comme les stratégies de substitution des produits importés, qui pourraient profiter de la politique « Fabriqué en Inde » et de la tendance vers une diversification de la chaîne d’approvisionnement à l’extérieur de la Chine (stratégie « China+1 »). À notre avis, des occasions pourraient se présenter dans les secteurs des matières premières et des soins de santé.

ANASE : des occasions dans un contexte économique difficile  

La reprise semble avoir ralenti dans la plupart des pays de l’Asie du Sud-Est en raison de la résurgence des cas de COVID-19. La propagation du variant Delta plus contagieux dans un contexte de distribution relativement lente des vaccins a eu une incidence négative sur l’économie de la région. Nous prévoyons une révision à la baisse des perspectives de croissance de la région cette année. Cela dit, nous croyons que les sociétés des secteurs suivants dégageront un rendement supérieur :

  1. Soins de santé : Au début de la pandémie, les hôpitaux ont souffert du faible nombre de patients et de l’annulation des opérations chirurgicales non urgentes. Ils ont par la suite réussi à tirer leur épingle du jeu en aidant le gouvernement à effectuer des tests de dépistage de la COVID-19 et à soigner les personnes atteintes. Les revenus qu’ils ont tirés de ces services les ont aidés à maintenir la croissance de leurs bénéfices. Après la pandémie, ces installations devraient tirer parti du retour à la normale de leurs activités et de la reprise du tourisme de santé.

  2. Exportateurs : Les fabricants de l’Asie du Sud-Est devraient continuer de faire bonne figure en raison de la vigueur de la demande résultant de la réouverture des économies américaines et européennes. Certaines sociétés ont profité de la réorientation des commandes de la Chine vers l’Asie du Sud-Est. Il est possible que les restrictions sur les opérations et les pénuries de composantes causent certaines perturbations, mais nous croyons que leurs répercussions seront de courte durée. Par ailleurs, un dollar américain plus fort est habituellement favorable aux exportateurs de la région durant les périodes d’angoisse attribuable à une réduction progressive.

  3. Numérisation des économies de l’ANASE : Comme nous l’avons indiqué dans nos perspectives pour 2021, les pays d’Asie du Sud-Est, et plus particulièrement l’Indonésie, enregistrent une forte croissance de leur économie numérique. Les centres de données indonésiens prennent rapidement de l’expansion alors que la numérisation s’accélère dans les secteurs des services financiers, du commerce électronique et des services de voiturage. La demande de services de logistique et d’entreposage a fortement augmenté dans cette région, et nous assistons à des niveaux d’investissements élevés dans ces secteurs. Nous nous attendons à ce que la liste des principaux chefs de file sectoriels du deuxième semestre de 2021, particulièrement en Malaisie et en Indonésie, établisse la référence pour l’ajout d’autres sociétés de la nouvelle économie en Asie du Sud-Est.

Conclusion

La divergence des rendements entre les actions asiatiques observée jusqu’ici en 2021 devrait se poursuivre. Les économies de l’Asie du Nord et Singapour, qui présentent des taux de vaccination plus élevés et ont mis en place de meilleures mesures de confinement, devraient profiter de périodes de croissance plus longues. Par contre, la reprise a été retardée sur de nombreux marchés de l’ANASE et pourrait se faire attendre jusqu’à la fin de 2021 ou au début de 2022. Cette divergence offre aux gestionnaires actifs une occasion unique de choisir des sociétés de qualité dans l’ensemble de la région.

L’indice MSCI tous pays Asie-Pacifique avait reculé de 2,58 % au 24 septembre 2021, mais il y avait une divergence importante entre le marché le plus performant (Inde) et le moins performant (Chine).Transcription de la conférence de presse du président de la Fed, Jerome Powell (en anglais seulement), federalreserve.gov, 16 juin 2021.Dans ce cas-ci, nous parlons de la Banque populaire de Chine, de la Banque centrale européenne, de la Banque d’Angleterre et de la Banque de réserve d’Australie.Les sociétés multinationales établies en Chine tenteront de trouver un nouveau pôle de chaîne d’approvisionnement en Asie afin de diversifier leurs chaînes d’approvisionnement.

Une crise généralisée dans le secteur de la santé, comme une pandémie mondiale, pourrait entraîner une forte volatilité des marchés, la suspension et la fermeture des opérations de change, et affecter le rendement du portefeuille. Le nouveau coronavirus (COVID-19) perturbe ainsi considérablement les activités commerciales à l’échelle mondiale. Une crise sanitaire ainsi que des épidémies et pandémies futures pourraient avoir, sur l’économie mondiale, des répercussions qui ne sont pas nécessairement prévisibles à l’heure actuelle. Une crise sanitaire peut exacerber d’autres risques préexistants, qu’ils soient politiques, sociaux ou économiques. Cela pourrait nuire au rendement du portefeuille, ce qui entraînerait des pertes sur votre placement.

Les placements comportent des risques, y compris le risque de perte du capital. Les marchés des capitaux sont volatils et peuvent considérablement fluctuer sous l’influence d’événements liés aux sociétés, aux secteurs, à la politique, à la réglementation, au marché ou à l’économie. Ces risques sont amplifiés dans le cas des placements effectués dans les marchés émergents. Le risque de change s’entend du risque que la fluctuation des taux de change ait un effet négatif sur la valeur des placements détenus dans un portefeuille.

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